L'état écologique

L'état écologique d'une masse d'eau se décline en 5 classes de qualité de très bon à mauvais. Le bon état est défini comme un écart léger à une situation de référence. Le calcul de l'état écologique prend en compte :

• les éléments biologiques évalués à l'aide des indices en vigueurs (l'indice poissons lacs -IIL- ou -IIR-, l'indice macro-invertébrés -IML-, l'indice Biologique Macrophytique lacs -IBML-, l'indice Phytoplancton -IPLAC-, l'indice Biologique Diatomées en Lacs -IBDL-),
• les éléments physico-chimiques comprenant le phosphore, l'ammonium, les nitrates, la transparence.
• les polluants spécifiques (4 métaux et quelques herbicides).

L'état écologique est calculé selon les règles d'évaluation en vigueur.

Les calculs sont effectués sur six années glissantes et sont mis à jour régulièrement sur l'ensemble de la période de mesure disponible pour la station.

Pour le SDAGE 2022-2027, l'évaluation des états à l'échelle de la masse d'eau s'appuie sur les mesures effectuées sur la période 2009-2016 conformément à l'Arrêté du 27 Juillet 2018.

Une archive de ces indicateurs a été conservée et est accessible avec les données du SDAGE.

L'état chimique

L'état chimique d'une masse d'eau est actuellement évalué en mesurant la concentration de substances prioritaires ou dangereuses suivant le respect ou non des normes de qualité environnementales ou NQE fixées par les directives européennes. On y rencontre des métaux lourds (cadmium, mercure, nickel,…), des pesticides (atrazine, alachlore,…), des polluants industriels (benzène, hydrocarbures aromatiques polycycliques ou HAP,…).

L'état chimique est calculé selon les règles d'évaluation en vigueur.

Les calculs sont effectués sur six années glissantes et sont mis à jour régulièrement sur l'ensemble de la période de mesure disponible pour la station.

Pour le SDAGE 2022-2027, l'évaluation des états s'appuie sur les mesures effectuées sur la période 2012-2016, conformément à l'Arrêté du 27 Juillet 2018.

Une archive de ces indicateurs a été conservée et est accessible avec les données du SDAGE.

Historique des états

Les états écologique et chimique sont calculés selon les règles d'évaluation en vigueur. Les calculs sont effectués sur six années glissantes et sont mis à jour régulièrement sur l'ensemble de la période de mesure disponible pour la station.

Pour le SDAGE 2022-2027, l'évaluation des états à l'échelle de la masse d'eau s'appuie sur les mesures effectuées sur la période 2009-2016 conformément à l'Arrêté du 27 Juillet 2018.

Une archive de ces indicateurs a été conservée et est accessible avec les données du SDAGE.

L'état écologique

L'état écologique d'une masse d'eau se décline en 5 classes de qualité de très bon à mauvais. Le bon état est défini comme un écart léger à une situation de référence. Le calcul de l'état écologique prend en compte :

• les éléments biologiques évalués à l'aide des indices en vigueurs (l'indice poissons lacs -IIL- ou -IIR-, l'indice macro-invertébrés -IML-, l'indice Biologique Macrophytique lacs -IBML-, l'indice Phytoplancton -IPLAC-, l'indice Biologique Diatomées en Lacs -IBDL-),
• les éléments physico-chimiques comprenant le phosphore, l'ammonium, les nitrates, la transparence.
• les polluants spécifiques (4 métaux et quelques herbicides).

L'état chimique

L'état chimique d'une masse d'eau est actuellement évalué en mesurant la concentration de substances prioritaires ou dangereuses suivant le respect ou non des normes de qualité environnementales ou NQE fixées par les directives européennes. On y rencontre des métaux lourds (cadmium, mercure, nickel,…), des pesticides (atrazine, alachlore,…), des polluants industriels (benzène, hydrocarbures aromatiques polycycliques ou HAP,…).

Hydromorpho

LHYMO : indice multi-métriques synthétisant des informations sur l'état des plans d'eau relatives à plusieurs éléments de qualité hydromorphologiques tels que définis par la DCE. Il prend en compte des altérations aussi bien hydrologiques que morphologiques aux différentes échelles spatiales et temporelles de fonctionnement des écosystèmes lacustres.
Cette méthode permet de répondre à plusieurs objectifs :
• Fournir une évaluation quantitative des conditions hydromorphologiques des plans d'eau et de leur altération, qu'il s'agisse de définir leur état écologique dans un contexte réglementaire ou de réaliser des diagnostics environnementaux dans un cadre plus large,
• Identifier les éléments de qualité et les types d'altérations à l'origine d'une dégradation de la qualité hydromorphologique des plans d'eau,
• Anticiper et évaluer l'impact de différents scénarios de gestion/remédiation potentiels sur l'amélioration des conditions hydromorphologiques en simulant les valeurs de certaines métriques.
Ainsi, LHYMO est à la fois un outil d'évaluation de l'état hydromorphologique des plans d'eau, mais aussi un outil de quantification des pressions hydromorphologiques s'exerçant sur un écosystème plan d'eau.

Source : Guide technique relatif à l'évaluation de l'état des eaux de surface continentales