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- Installation classée pour la protection de l’environnement - ICPE
- Activité (usine, entrepôt, élevage, carrière, …) considérée comme dangereuse pour l’environnement. La définition des ICPE est donnée par le code de l’environnement selon des critères et des seuils liés aux activités, substances produites, rejets polluants,…
- Installations Ouvrages Travaux ou Aménagements : IOTA
- (article L.214-1 du code de l'environnement)
- Interétalonnage
Exercice de comparaison entre les pays européens destiné à établir des limites de la classe bon état.
Source: glossaire DCE 2004
Ce travail, qui sera réalisé en 2005 et 2006, concerne principalement les paramètres de suivi biologique et est basé sur un réseau de sites de surveillance représentatifs des limites haute et basse de la classe bon état pour des types de masses d’eau communs entre plusieurs pays européens.- Inversion des tendances à la hausse
Il s’agit d’un objectif de non dégradation de la qualité des Eaux souterraines , qui impose de n’avoir aucune tendance à la hausse significative et durable de la concentration d’un polluant dans les eaux souterraines résultant de l’impact de l’activité humaine
Les États membres doivent mettre en place les mesures nécessaires (article L.212-2-1 du code de l’environnement) pour répondre à cet objectif, spécifique aux eaux souterraines et inverser les tendances à la dégradation de l’état des eaux souterraines, qu’elles soient avérées ou potentielles.
- Irrigation raisonnée
Pratique qui consiste à faire un bon usage de l'eau d'irrigation avec des apports d'eau calculés pour assurer une production agricole optimale. Elle vise à éviter les gaspillages et le Drainage de substances pouvant être polluante du fait des excès d'eau.
Source: glossaire DCE 2004- IRSTEA
- Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture
- Isohypse
Courbe joignant, sur une carte, les points d’une surface situés à une même altitude.
Source: glossaire DCE 2004- Isopièze
Courbe joignant, sur une carte, les points d’égale hauteur piézométrique d’une nappe d’eau souterraine.
Source: glossaire DCE 2004- Isotrope
Se dit d’un milieu dont les propriétés sont identiques dans toutes les directions.
Source: glossaire DCE 2004- Jaugeage
Détermination des caractéristiques de l’écoulement (vitesse ou Débit ) pour un cours d’eau ou une source.
Source: glossaire DCE 2004- Karst
Aquifère en terrain calcaire dont le comportement est caractérisé par une hétérogénéité et un compartimentage du réservoir qui se traduisent par deux grands types de fonctions :
Source: glossaire DCE 2004- la fonction conductrice qui donne lieu à des écoulements rapides par les conduits karstiques interconnectés (fissures qui ont été élargies par dissolution) et qui explique la grande Vulnérabilité aux contaminations de ces aquifères et la vitesse de déplacement des pollutions,
- la fonction capacitive, assurée par les zones fissurées et micro-fissurées et par des vides de grande capacité, qui sont le siège de vitesses d'écoulement plus lentes et autorisent une capacité de stockage variable selon les karsts.
- Karstique
Un cours d'eau karstique est une voie d’eau naturelle à écoulement pérenne ou intermittent, superficiel ou souterrain traversant des terrains karstiques (constitués par des roches calcaires compactes et solubles) et pouvant subir des pertes ou bénéficier d’apports dus à des résurgences.
Source: Atlas 1997- Laboratoire d’analyse
Organisme chargé de réaliser les analyses ou de coordonner la réalisation des analyses auprès de sous-traitants. Les laboratoires d’analyse sont des acteurs qui agissent généralement comme prestataires dans le cadre de contrats (marchés publics). Ils produisent des données conformément au cahier des charges attaché à la commande.
- Lâchure de barrage
Evacuation contrôlée d'une fraction d'eau du barrage (soutien d'étiage, sécurité, production d'énergie,...).
Source: glossaire DCE 2004- Laisse
La Laisse des plus basses eaux (LBE) est la limite des terres toujours submergées. Elle est distante de plus de 100 mètres de la laisse des plus hautes eaux (sinon elle n'est pas saisie) et en dehors des estuaires (où une ligne arbitraire fermant l'estuaire est saisie à la place de la laisse des plus basses eaux). Dans le cas des îles émergées seulement à marée basse, elle n'est saisie que si elle délimite une zone d'une superficie supérieure ou égale à 4 hectares.
La laisse des plus hautes eaux (LHE) est la limite des terres jamais recouvertes par la mer. La continuité est assurée sur l'ensemble de la BDCarthage. Dans le cas des îles, elle n'est saisie que si elle délimite une zone d'une superficie supérieure ou égale à 1 hectare.Voir aussi Trait de côte
Source : SANDRE- LEMA
Loi sur l'eau et les Milieux aquatiques du 30 décembre 2006.
Elle rénove le cadre global défini par les lois du 16 décembre 1964 et du 3 janvier 1992, qui avaient bâti les fondements de la politique française de l’eau.- Levée
Digue de terre destinée à contenir un cours d'eau dans des limites déterminées
Source: glossaire DCE 2004- Ligérien
Partie inférieure du Turonien (Crétacé supérieur, voir échelle stratigraphique).
Source: glossaire DCE 2004- Limite de salure
La Limite de salure des eaux (LSE) est la délimitation entre eaux marines et eaux fluviales.
Elle constitue, dans les estuaires, la frontière entre le champ d'application de la réglementation de la pêche maritime et de la pêche fluviale. La limite de salure de l'eau des fleuves, rivières et canaux est déterminé par des décrets du 4 juillet 1853 (pour la mer du Nord, manche, Atlantique) et du 19 novembre 1859 (pour la Méditerranée). La limite est décidée après analyse de la salinité de l'eau en plusieurs points. Le décret 75-293 réglemente l’exploitation de la chasse sur le domaine public maritime et sur la partie des cours d'eau domaniaux située à l'aval de la limite de salure des eaux. C'est donc une limite qui est utilisée dans la réglementation lorsqu'il s'agit de traiter des espèces vivantes.
Source : Secrétariat d’état à la Mer- IFREMER- Limnimétrique
Relatif à la mesure du niveau d’eau (courbe Limnimétrique ).
Source: glossaire DCE 2004- Lit en tresse
Espace de divagation d'un Lit mineur d'un cours d'eau comportant plusieurs bras en évolution permanente.
Source: glossaire DCE 2004- Lit majeur
- Lit maximum qu'occupe un cours d'eau dans lequel l'écoulement ne s'effectue que temporairement lors du débordement des eaux hors du lit mineur en période de très hautes eaux (en particulier lors de la plus grande crue historique). Ses limites externes sont déterminées par la plus grande crue historique. Le Lit majeur du cours d'eau permet le stockage des eaux de crues débordantes. Il constitue également une mosaïque d'habitats pour de nombreuses espèces.
- Lit mineur
- Partie du lit comprise entre des berges franches ou bien marquées dans laquelle l'intégralité de l'écoulement s'effectue la quasi-totalité du temps en dehors des périodes de très hautes eaux et de crues débordantes. Le lit mineur englobe le lit d'étiage. Sa limite est le lit de plein bord. Dans le cas d'un lit en tresse, il peut y avoir plusieurs chenaux d'écoulement. Le lit mineur accueille une faune et une flore variée (poissons, invertébrés, écrevisses, moules, diatomées, Macrophytes …) dont l'état des populations dépend étroitement de l'hétérogénéité du lit et des connexions avec le lit majeur et les annexes hydrauliques.
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